samedi 29 septembre 2012

INTRODUCTION A LA SANTÉ PAR LES PIERRES


La lithothérapie (ou la santé par les pierres), comme de nombreuses médecines parallèles, alimente le débat entre croire et savoir. Qu’y a t’il de crédible dans le fatras des légendes millénaires sur les bienfaits des pierres pour la santé ? Quelles sont les preuves scientifiques de l’efficacité de ces méthodes ? Qui sont ils ceux qui se retrouvent autour de ces thèmes, inspirés par des maîtres plus ou moins douteux qui prônent la foi plutôt que le savoir ?
Quel est cet amalgame de médecines exotiques  de Chine, d’Amérique du Sud, d’Inde, ou inspirées de l’Europe obscurantiste du Moyen Age et de l’Occident “écolo-nouvelâgiste du XXème siècle ?
Toutes ces questions, nous les avons entendues à maintes reprises, en privé, ou lors de débat publiques. Nous avons reconnu que, malgré des racines millénaires, la lithothérapie est une technique jeune, empirique, qui se cherche et se perfectionne chaque jour. Invariablement, nous avons regretté que les scientifiques ne s’intéressent pas plus à elle et que la médecine officielle la mette trop souvent, et sans examen, à la trappe des médecines non conventionnelles, bien que certains médecins engagent discrètement une collaboration avec les lithothérapeutes…
Nous avons répondu que le placebo, l’objet transitionnel ou la foi ont souvent des effets bénéfiques pour la santé mais, qu’en l’occurrence  le lithothérapie se développe sous l’autorité  de praticiens expérimentés et responsables.
C’est fort de cette expérience individuelle et des échanges avec d’autres praticiens que nous pouvons affirmer que les pierres, et plus particulièrement les cristaux, sont bien plus que des objets de culte, des placebos ou des objets transitionnels. Les résultats obtenus l’attestent au quotidien, hors de tout sensationnalisme  de toute référence au merveilleux. Pourtant, personne n’a pu encore expliquer comment cela fonctionne. Peu importe. Ce sont les résultats qui comptent avant tout. Et si, enfin, des scientifiques engageaient des recherches pour l’expliquer, tant mieux ! Nous ne craignons pas la vérité et revendiquons notre droit à un savoir précis.

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